VORTEX ATOMIQUE - RESONANCES DES ORBITALES ELECTRONIQUES ET DES RAIES SPECTRALES
Signification fondamentale de la pseudo 'constante' de structure fine de l'atome de Bohr : ---- > [ a = (c² /v² - 1) puissance1/2 ].
Spiralisation de la matière/énergie en agrégation électromagnétique dans le vortex subatomique ou atomique: Atome grave - Atome lié.
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Cette page mise en place dès 2004 rapporte les contenus des communications n°3: 3a, 3b et 3c, relatives à l'atome quasi libre (grave) ou à l'atome lié (excité) en interaction avec le cosmos.
Regroupées en communications n°3, celles-ci exposent la découverte du fondement théorique des raies spectrales observées dans la nature et permet l'approche du fondement de l'origine du vivant. Dernière mise à jour: 2014. Cette page est confortée par la communication n°7 du 17 février 2014 et répond à toutes les interrogations et hypothèses soulevées dès 2003.
Quatre parties... ... ....

En 2003, de nouvelles découvertes génèrent la mise en chantier la communication n°3 dont la première publication est effective au 17 février 2004.
Cinq années de recherches complémentaires seront nécessaires pour en extraire l'essentiel des aspects ondulatoires des amas particuliaires subatomiques et atomiques composant les éléments naturels, les amas molécules et les corps cellulaires.
Ces découvertes découlent de l'étude du vortex cosmique (découvert en 2001) appliquée à l'atome.
La généralisation des deuxième et troisième lois de Kepler définit la distance d'une entité (particule - satellite - planète) gravitant autour d'un bulbe 'central' plus massif (noyau atomique - planète - étoile), quel que soit le système (atome - satellite - planète - étoile - galaxie).
Dans un même système : d= f (g M/F²) p.1/3 ou d= f (g M P²) p.1/3 ... (où p. signifie élevé à la puissance 1/3, ...)
D'un système à l'autre : d1 = d2 x (M1/M2) p.1/3 x (F2/F1) p.2/3 ou d1 = d2 x (M1/M2) p.1/3 x (P1/P2) p.2/3
Ce qui relève de la formulation générique fondamentale : V² = gM / d.

Ceci traduit la satellisation ou la spiralisation des mouvements de la matière / énergie (éther et agrégats), en agrégation électromagnétique (gravitation) vers le barycentre de chaque système considéré (vortex subatomique, atomique ou astronomique). Les vitesses de spiralisation et de satellisation étant dans le rapport : V²spiralisation = 2 V²satellisation.
Masse; distance, vitesse, fréquence et quantité de mouvement, sont les paramètres spécifiques.
Sommaire général des communications n° 3, par le lien suivant: Phénoménologie des échanges équilibrés entre les sauts orbitaux électroniques et les raies spéctrales émises ou reçues par le Vortex atomique - couplage des forces gravitationnelle, électromagnétique et nucléaire - monade de matière/énergie chargée: monade de Bruno
Un prolongement assez spécialisé est exposé en page 13bis. Cette page 13bis présente la communication n°4 avec le lien suivant:: Phénoménologie des échanges équilibrés:sauts orbitaux électroniques et raies spéctrales émises ou reçues par le Vortex atomique
Le sommaire général de la communications n° 4 est donné par le lien suivant: Echanges équilibrés entre les sauts orbitaux électroniques et les raies spéctrales émises ou reçues par le Vortex atomique - monade de matière/énergie chargée: monade de Bruno

-- 1° -- Première Partie --
Les quatre découvertes présentées dans la communication 3a, à l'académie des sciences - 17 février 2004)
atome grave libre - couplage des forces gravitationnelle, électromagnétique et nucléaires

** 1°_ Le vortex atomique mettant à jour l'atome grave (atome quasi libre, sans voisin proche).
** 2°_ La signification fondamentale de la constante a, dite de structure fine pour l'atome de Bohr (atome lié). [a = (c² /v² - 1) exp1/2 ]
** 3°_ La démystification de la logueur d'onde de Compton. Relation avec la longueur d'onde mécanique de l'électron et de De Broglie.
** 3°_ Le coefficient de couplage de l'électron au barycentre atomique (~proton), fonction de sa distance orbitale.

Première approche de l'atome grave
Introduction
Après avoir établi le fondement et la généralisation des deuxième et troisième lois de Kepler (communication 2, - 11 / 2002), j'avais défini que la distance d'une entité (planète - satellite - particule) gravitant autour d'un bulbe 'central' plus massif (étoile - planète - noyau atomique), est calculable, quel que soit le système (galaxie - étoile - planète - satellite - atome) par les relations ci-après.

Dans un même système :
d => fonction de ( g M / F²) p.1/3 ou d => fonction de ( g M P²) p.1/3 .......Relations (3) de la Communication n°2 ... (où p. signifie élevé à la puissance 1/3, ...)
D'un système à l'autre :
d1 = d2 x ( M1 / M2) p.1/3 x ( F2 / F1) p.2/3 ou d1 = d2 x ( M1 / M2) p.1/3 x ( P1 / P2) p.2/3 ......Relations (3 ' a/b - Communication 3a)

Avec d : distance de l'entité ou de l'orbitale au bulbe central, M : masse du bulbe central, F et P : fréquence et période de satellisation (ou orbitale), et g : constante de gravitation traditionnelle, dont la présente communication détermine le coefficient avec la force électromagnétique.
Ces relations traduisent concrètement la spiralisation des mouvements de la matière/énergie (éther et agrégats), en phase d'agrégation électromagnétique (gravitation) vers le barycentre de chaque système considéré (vortex, tant astronomique que subatomique) dont la masse, la vitesse et la quantité globale de mouvement, pour chaque ensemble, sont les paramètres spécifiques.

Le vortex atomique.
Les caractéristiques de l'atome lié, organisé avec ses voisins dans les molécules de matière ordinaire / atomique, sont aujourd'hui assez bien connues.
Parmi les meilleures descriptions de base, partant du modèle de Bohr / Sommerfeld, je prends en référence celles de G.-A. Boutry et de R. Serway.
Son électron (de charge apparente, -e) est en révolution autour du proton (de charge apparente, +e), mais il est aussi sous l'influence des charges des protons des atomes voisins. Il s'agit d'un atome lié, quel que soit l'état (solide, liquide, gazeux ou plasma) de l'élément physique considéré, ici l'hydrogène.
Cet atome dont on connaît les caractéristiques est soumis aussi bien aux forces nucléaires (forte et faible) qu'à la force électrique locale, plus apparente, au niveau des enveloppes particulaires (proton, quark, électron,…). Il est soumis aussi à la force gravitationnelle des atomes voisins (limitrophes), en interaction rapprochée avec lui-même et de façon isotrope à tous ceux du cosmos. Mais cette interaction, masquée par l'écran électromagnétique, nous est quasi indiscernable.

Connaître la nature fondamentale de l'atome, nécessite de pouvoir observer et étudier les caractéristiques d'un atome quasi libre.
Un tel atome serait quasi libéré de l'influence de voisin(s), donc quasi libéré de l'attraction électrique apparente d'atome ou de fermion voisin.
Cette étude étant possible, l'influence gravitationnelle mutuelle entre ses composants internes et le cosmos, devrait pouvoir être caractérisée.
Cette étude est amorcée ici car elle est réalisable. Elle conduit à la détermination précise des coefficients de couplage entre les pseudo quatre forces : gravitationnelle, électromagnétique, nucléaires (forte et faible) que recouvre, en fait, la force fondamentale électromagnétique due aux charges électriques intrinsèques, proportionnelles à chacune des masses de toutes les entités de matière/énergie, toujours en mouvement, en quelques lieux que ce soit dans le cosmos infini et éternel.
* * * * * Ici commence l'exploration des entités subatomiques * * * *
variation du coefficient de libération électromagnétique de l'électron, au barycentre atomique vs l'orbitale de Bruno 45°
variations comparées du coefficient de libération de l'électron et de la phase de transmutation en fonction de la distance orbitale

Extrait 1 de la communication scientifique N° 3a.
Proton et électron dans l'atome [Atome quasi libre (grave - effondré) Atome lié (de Bohr - excité) : vortex atomique Bohr Sommerfeld Boutry Serway Broglie Compton Schrödinger Rydberg - comparaison atome grave (quasi libre) et atome lié
Il s'agit de la première ébauche de l'étude de l'atome quasi libre jamais réalisée à ce jour, donc inévitablement imparfaite.
Beaucoup d'améliorations seront apportées suite à la communication n° 4 du 17 février 2005, qui ne fut permise elle-même qu'à travers cette ébauche; elle reste une découverte historique..