PARADIGME DE L'ELECTROMAGNETISME
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Cette page est entièrement confortée par la communication n°7 du 17 février 2013 et répond à toutes les interrogations et hypothèses soulevées lors des découvertes de cette période(1996 - 2005).
Le paradigme électromagnétique est directement lié à celui de la gravitation ou agrégation électromagnétique comme conséquence des mouvements (translation et rotation) stochastiques de monades ou d'agrégats particulaires générant charges et polarités électriques

Cette agrégation électromagnétique découle:

- 1°_ de la charge électrique intrinsèque et composite que présente chacun des amas particulaires (ou amas de monades) sub-photoniques, sub-électroniques, sub-protoniques composants les atomes, éléments ou molécules.
La charge électrique intrinsèque
est proportionnelle à la quantité de matière/énergie des n monades constituant chacun des amas particulaires.
- 2°_ de la résultante agrégative macroscopique qui résulte du différentiel dynamique
et quantique des champs électromagnétiques émergeant des entités particulaires en mouvement (rotation et translation - yoctoscopique et macrospique). Ces entités en mouvement stochastique sont toujours en interaction mutuelle et en interaction individuelle avec l'ensemble du cosmos.

La translation de tout amas particulaire, relativement au milieu traversé, génére la charge (ou flux) électrique par transfert d'énergie cinétique lors des contacts interparticulaires.
Sa rotation (ou spin) génére la polarité (gauche / droite --- > + / -) par transfert de moment cinétique lors de ces mêmes contacts interparticulaires.
Le différentiel dynamique est proportionnel à la masse des entités considérées et inversement proportionnel au carré de leur éloignement spatiotemporel.

La résultante macroscopique
: [d² n ( e+ * e-) / (d t * d (r²)) ] est toujours agrégative. (Référence: communication n°1, publiée en 1999)

Dans le même temps, l'amas particulaire (noyau, corps, bulbe...) induit macroscopiquement un mouvement-vortex spiral (agrégation-satellisation-libération) : [V²sat.=gM/d ].
(Références: communications n°7_ Livret II de 2013 et n°8 de 2011)



. .
Deux parties

Cette page repose sur le contenu de deux communications scientifiques.
La première en date du 1er novembre 1999, concerne la première synthèse électromagnétique de de la force gravitationnelle exposée ci-après.
La seconde, rédigée au premier semestre 2004, est abordée en deuxième partie de cette page. Cette seconde communication concerne:

  • proton et électron dans l'atome libre (atome grave),
  • signification de la constante a, dite de 'structure fine',
  • détermination et quantification des coefficients de couplage des forces de la nature,
  • quantification de la charge spécifique de la matière,
  • quantification de la Relation d'équivalence universelle entre charge, matière et énergie.

Première partie

Communication à l'Académie des Sciences (1 - 11 - 1999):
SYNTHESE DES FORCES DE LA NATURE (gravitationnelle, électromagnétique, nucléaires)

En guise d'introduction:
Illustration de l'effet agrégatif (gravitation) de l'infinitude des charges électriques des particules subatomiques et de tous les agrégats, corps ou entités matérielles du cosmos infini et éternel en transmutation permanente.

* * *
Version première présentée aux quatrièmes rencontres européennes de l'astronomie à Nantes le 8-04-2000: graphique et texte synthétique de l'agrégation électromagnétique fondamentale Figure T11bis - page 130.

Sommaire: Forces gravitationnelle, électromagnétique et nuclèaires: Plan de la communication et symboles utilisés

Dans les objets courants composés, par exemple, de fer, de silicium, d'eau, de carbone, doxygène, de plomb, [etc.], les atomes de base de chacun de ces composés, bien qu'ils soient neutres électriquement, du moins en apparence, s'assemblent aisément. Il est bien connu que les liaisons chimiques qui favorisent ces agrégats, ces agglomérations, sont fondamentalement les liaisons électroniques. Celles-ci s'exercent par l'intermédiaire de constituants des atomes, les électrons, liés aux protons et aux neutrons (composés de quarks), tous composés d'électrinos (+/-). En fait, seules les charges électriques sont à l'oeuvre, dans des contextes qui permettent leurs liaisons et interactions, tout en imposant un rééquilibrage énergétique interne et un réarrangement spatio-temporel des composants internes. Ce n'est qu'un exemple. Les objets astronomiques sont, de mê?me, des agglomérats, par accrétions successives de matière/énergie de nature atomique (particules chargées). Est-ce un hasard? Leur équilibre macroscopique, à la neutralité électromagnétique, génère la tendance naturelle à l'accrétion. Que l'une des innombrables charges électriques (électrino, quark, électron, proton, etc.), toujours en mouvement, tende à se soustraire ou à être extraite de l'agglomérat, aussitôt elle subit une force de rappel de "polarité opposée, fonction de (1/dē). Si elle s'échappe, l'agglomérat aspire à son remplacement par une charge libre de même nature errant à proximité. Le différentiel dynamique et temporel (quantique, macro/zeptoscopique) favorise la force attractive au détriment de la répulsive (dfem/dt, fonction de 1/dē).
Texte complet: Forces gravitationnelle, électromagnétique et nuclèaires charges électriques particule minimum bruno doublet électromagnétique

Equivalence généralisée de la matière/énergie:
La relation synthétique E.P.M.G. (énergie, impulsion, matière, gravitation électromagnétique et rayonnement gamma) relie toutes les particules/ondes, tous les objets et les corps du Cosmos, infiniment petits, grands et complexes, dont l'éther cosmique. Illustration: Les trois infinis cosmologiques: élémentarité, complexe / vivant, univers

Cette relation E.P.M.G. (E²g = P² + M² + g²) lie leurs énergies, intrinsèque et dynamique, à travers les champs électromagnétiques qu'ils échangent à l'infini, spatio-temporellement. Ses expressions asymptotiques aux vitesses nulle (u=0) et maximale (u=c) permettent d'élargir les équivalences déjà reconnues matière/énergie et énergie/fréquence d'onde, mais aussi d'accéder à la matérialité de l'onde gamma.
" gm = e - m. c² " pour u --> 0 ..........et..... "gp = e - hn " pour u --> c
ngc < ou = à: m.c² / h soit ngc = 1,36 x 10 exp.50 m.
l assoc. min. = ( h/c ) / m. soit ... l assoc. min. ~ ... 2,21 x 10 puissance -42 / m. .... (m. en Kg, l en mètre)
Toute l'énergie "massique" s'étant transmutée en énergie impulsionnelle, quantitativement équivalente. (g, exprime l'énergie gravitationnelle électromagnétique quantique)
- - - - > Matérialisation fondamentale de l'onde électromagnétique - Couplage gravitation / électromagnétisme
- - - - >
Décompte simpiflié des charges électriques composant les particules réputées "élémentaires" permis par les phénomènes radioactifs

Illustrations: - Premier inventaire des charges électriques de ces particules subatomiques, réputées élémentaires et - Représentation simplifiée des charges apparentes

- -

Présentation résumée de la communication: Equivalence généralisée Matière / Energie - matérialisation de l'onde électromagnétique
Deuxième partie

DECOUVERTE DE L'ATOME LIBRE ou ATOME GRAVE _ DECOUVERTE DE 2004.

Communications scientifiques n°3a et n° 3ab.

Formulation simplifiée de la synthèse des vortex électromagnètiques constituant tous les amas et entités particulaires du cosmos dans l'univers spatiotemporel infini:

- Avec la relation d'équivalence généralisée : matière / énergie, tenant compte de l'éther.

La communication 3a (février / mai 2004) :
"Proton et électron dans l'atome libre - L'atome 'grave'
- Détermination des coefficients de couplage des forces gravitationnelle, électromagnétique et nucléaires
",
concerne:

*** une découverte naturelle, celle de l’atome ‘grave’, quasi libre de liaison électronique de voisinage, par exemple dans les espaces interstellaires / interplanétaires ténus et froids ou en laboratoire, dans des enceintes de très basses pression et température.
Le rapport volumique, interastral / astre (sa matière agglomérée d’atomes liés) est de l’ordre de 10
exp15. Le rapport de densité, atome grave / atome classique, est de l’ordre de : 2,27 x 10exp39.
Soit un rapport massique global d’environ : 10exp54, en faveur des atomes libres de l’univers, encore non détectés aujourd’hui.
*** et une découverte théorique et expérimentale, celle de la détermination des coefficients de couplage des quatre interactions (gravitationnelle, électromagnétique et nucléaires), en parfait accord avec les données expérimentales. Avec, au fil de l'analyse, l'obtention de la signification et la détermination de la constante a, dite de structure fine.
Le ‘modèle atome grave’ complète précisément la justification quantique de leur unification.


Texte de présentation de la Communication n°3a (17 février / 23 mai 04 - mises à jour en janvier 05 et en décembre 07): Proton et électron dans l'atome grave (libre) - dans l'atome lié
Atome grave,texte première partie / 3:
Généralisation des relations de Kepler aux mouvements des amas particules / ondes associées dans l'atome

Atome grave,texte deuxième partie / 3:
Comparaison atome grave (libre) atome lié Couplage électromagnétique - gravitationnel

Atome grave,texte troisième partie /3:
Variation du coefficient de structure en fonction de la distance orbitale (pseudo constante dite de structure fine)

Atome grave,texte troisième partie bis /3, incluant une mise à jour effectuée en janvier 2005, puis décembre 2007: Couplage gravitation - électromagnétisme - nucléaire

La communication 3ab (23 mai 2004) :
"Charge électrique spécifique de la matière et
Relation d'équivalence universelle entre Charge - matière - énergie
",
s'inscrit dans le prolongement de la première et des communications précédentes et , présente également deux nouvelles découvertes :

- * La quantification de la charge électrique spécifique de la matière/énergie :
0,313x 10exp-24 C par eV ou 0,176x 10exp-12 C par kg. Ainsi que la quantification de son quantum (+/-) : 2,06367 x 10exp-40 C, porté par la monade de matière/énergie.
Ces quantifications sont liées au coefficient de couplage de l'interaction électromagnétique avec ses différentes facettes gravitationnelle, électronique et nucléaires.

-* La quantification de la relation d'équivalence universelle E. P. M. G. entre charge électrique spécifique de la matière/énergie, de la matière et de l'énergie :

E² = (1 +a ²) x (M² + P²) = (1 + (2,06367 x 10exp-40 )² ) x (M² + P²).

Avec les notations:
n , l , m, c, h,... : fréquence associée de Compton, longueur d'onde associée de Compton, masse, énergie, vitesse de la lumière, constante de Planck,....
Il en découle...
*** Les relations simplifiées, applicables aux entités de vitesse quasi nulle ou luminique: . . . . . .
e
= (1 + 2,06367 x 10exp-40) m. c² . . . ou . . . . . e = (1 + 2,06367 x 10exp-40) hn
qui conduisent aux relations fondamentales:
ng
c =ou< m.c² / h, soit . . ngc ~ 1,356 x 10exp50 m. . . . ou
lg
c =ou< h / m. c, soit . .lgc ~ 2,21 x 10exp-42 / m .

Le travail présenté repose fondamentalement sur les observations et expériences en physique, en astronomie et en cosmologie qui se rattachent au sujet abordé.
Le paradigme de l'électromagnétisme, force fondamentale de la nature, en est l'outil théorique.


Texte de présentation de la Communication n°3ab (23 mai 04 - mise à jour en février 2005): Charges électriques spécifiques des particules / ondes associées subatomiques, en mouvement

Quantification de la charge électrique spécifique de la matière/énergie, texte premier / 2: Quantum de charge électrique - Monade de Bruno

Quantification de
la relation d'équivalence entre charge - matière - énergie/énergie, texte second / 2: Equivalence charge - matière - énergie (impulsion) - température

Recherche et découvertes complémentaires

Les communications n°3a et 3b étaient publiées, dans leur premières version, les 17 février et 23 mai 2004. Comme il est abordé plus haut dans cette page, elles définissaient d’une part, la quantification des coefficients de couplage gravitationnel, électromagnétique et nucléaire et d’autre part, la quantification de la relation d’équivalence universelle entre charge, matière et énergie
[ E² = (1 + gem ²) x (M² + P²) avec g : Clib at. effondré = 2,06367 x 10exp.-40 ]. Relation (1) – (Note 0 de la communication)
(g = Clib at. effondré rapporté à l’orbitale : rayon at. effondré = 2,6436 10exp.-28 m)
_ Depuis_ , j’ai poursuivi mes travaux relatifs au vortex atomique.
Ma référence est l’atome d’hydrogène (le plus simple et le plus connu) sous le modèle de Bohr, Sommerfeld, Boutry et Serway.
Recherchant la signification des spectres d’émission et d’absorption de l’atome, liés au coefficient de Rydberg (RH),

je me suis attaché au mouvement spatiotemporel de l’électron, du niveau de stabilité n1 aux niveaux excités de l’exosmose atomique : ni (i =2,3, ..137, ..) ;
ceci pour l’atome classique lié à ses voisins.
J’ai développé l’investigation, du niveau de stabilité n1 aux niveaux métastables subatomiques :
ni (i =-1/2 ,1/3, ..1/137, 1/137²,...) ; cela, pour l’atome grave quasi libéré de toute interaction proche.

Dès les premiers résultats consignés dans la communication n°3c du 17 février 2005, on est conduit à de nouvelles découvertes.
L'ensemble des communications n°3: 3a, 3b et 3c mises à jour depuis les premières versions est pésenté en page:
" Vortex et orbitales de l'atome libre ou lié" - page 12 du site, accéssible par le lien suivant :
vortex, orbitales électroniques et structure fine de l'atome - équilibre des raies spectrales et des sauts électroniques - Bohr Rydberg Balmer Lyman - pseudo expansion hubble
La communication n° 3c aborde entre autres, quatre caractéristiques ou paramètres de l’atome.... Lire la suite par le lien suivant :
structure fine de l'atome - équilibre raies spectrales et sauts électroniques - Compton Rydberg Balmer Lyman

Accéder au contenu de la page 6:
Univers, infini, éternel, astronomiques, Villame, antinomique, postulats, Structure bulles, cosmos, vide, Michelson, Miller, soleil, Terre, Kepler généralisé, éther
Accéder aussi au contenu page 4:
ELECTROMAGNETISME, FORCES DE LA NATURE, quantique, matière, gravitation, radioactivité, physique, relativiste, équivalence, charge, gravitation, vortex, énergie


Compléments actualisés_2013.
- Illustration de la constitution d'un proton, d'un atome ou d'un neutron dont la monade constitutive est l'électron, comme amas particulaires sustentés dans le substrat de l'éther. Le proton comprend 1836,15 électrons. En jaune et mauve, sont représentés les espaces inter-amas (amas électroniques, mésoniques et muoniques) internes au proton, remplis de l'éther cosmique (constitué des sous amas électroniques et leurs ondes associées: photoniques, neutrinoïques, ... et des brunos / monades de matière/énergie) dans lequel le proton et ses voisins sont immergés. Soient les espaces périphériques aux protons en blanc (inter-protoniques) constitués des mêmes entités, en densité plus ou moins variable en fonction des conditions thermodynamiques locales.

Définition de l'éther comme substrat cosmique de l'agrégation électromagnétique et de la gravitation (quantique). Contribution JCV - AF _ : Electromagnétisme agrégation gravitation champ électrique champ magnétique spin polarité vortex substrat éther Monade de Bruno proton neutron atome électron entropie charge apparentenéguentropie charge intrinsèque

N'hésitez pas à me communiquer vos suggestions, vos observations, ou simplement à laisser une trace de votre passage sur ce site: cosmos.monade@free.fr
Rédaction: 2002. Rééditions: 2003 / 2004 / 2005 / 2014...
Compléments didactiques et épistémologiques utiles :
http://www.univ-nancy2.fr/DepPhilo/walter/papers/ether.html (Scott Walter: le concept d'éther à travers l'histoire)
http://www.astrosurf.com/off69/Conferences/vrainaturelum.htm (Michel Lambert: lumière, n°49)
http://villemin.gerard.free.fr/Science/Lumiere.htm (les aspects classiques de la lumière et de l'onde électromagnétique)
http://www.crdp-nice.net/editions/supplements/2-86629-387-8/Texte_Hist_Lum.pdf#
(Christian Bracco: synthèse de l'électromagnétisme: p. 110/128 d'Histoire des idées de la lumière)

http://www.timespace.ath.cx/ (
Rudy Tuani: connaissance et théorie générales élargies)
http://www.laradioactivite.com/ (cnrs: qu'est la radioactivité - effets)
http://quanthomme.free.fr/energielibre/gravitation/GR_Theorie.htm (
questions sur l'énergie)



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Reproduction de la page sommaire de l'essai n° 2..... Dont l'accès peut se faire par: le lien suivant:
Sommaire:
Forces gravitationnelle, électromagnétique et nuclèaires: Plan de la communication et symboles utilisés

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PARADIGME DE L'ELECTROMAGNETISME ..........Communication n° 1, à l'académie des sciences (1/11/1999).
Découvertes de l'équivalence généralisée " Energie / Impulsion / Matière / Gravitation ", de la matérialisation de l'onde associée et de la monade de matière/énergie (le bruno : ~1 femto-eV).
Première synthèse des forces de la nature unissant les forces dites : gravitationnelle, électromagnétique et nucléaires (forte et faible).
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Sommaire :

I _ Résumé, références, symboles utilisés
Synthèse électromagnétique de la gravitation

II _ Equivalence restreinte E.P.M. (Energie / Impulsion / Matière)

  • Rappel
  • Nouvelle approche, conséquences
  • terminologie: substrat, quantum, géodésique, charge intrinsèque, différentiel agrégatif,...

III _ Nouveaux apports

IV _ Equivalence généralisée E.P.M.G. (Energie / Impulsion / Matière / Gravitation électromagnétique)


Symboles utilisés, notations conceptuelles de l'auteur: Synthèse électromagnétique de la gravitation

E, e énergie he quantum énergétique de Planck (constante de Planck / t)
P, gp impulsion / énergie impulsionnelle n,ng , fréquence d'onde associée, gamma
G, g, gravitation / énergie gravitationnelle ngc onde gamma associée se propageant à u = c
u, vitesse de déplacement Er, Eg, équivalence restreinte, équivalence généralisée
c, vitesse limite du rayonnement gamma, g: coefficient de Lorentz: 1 / (1- u²/c²)1/2
dont la lumière, dans l'éther cosmique w énergie totale d'une particule (impulsionnelle et massique)
gp, gm énergie gravitationnelle impulsionnelle, massique m., "masse" d'une particule / onde associée, au repos
géodésique: trajectoire la plus courte à la surface d'un espace 2, 3, n... D
spatio-temporel: espace à 4 dimensions (volume: 3D + temps: 1D)
fermions: électron, quark, neutrino.. particules atomiques réputées élémentaires, termes repris du modèle standard !
les termes: bosons, photons, bosons w+/-et z°, gluons... force d'interaction (f.e.m. et nucléaires), sont ceux repris du modèle standard!
éther cosmique: substrat des espaces inter cosmiques et de toute matière/énergie
sous multiples: micro, 10exposant -6 / nano, 10exposant -9 / pico, 10exposant -12 / fento, 10exposant -15 / atto, 10exposant -18 / zepto, 10exposant -21 / yocto, 10exposant -24 .

équivalences matière/énergie, particule/onde associée, notées sans espace pour marquer l'aspect inaliénable des deux entités, inhérentes l'une à l'autre. (Le symbole ( / ) pourrait être remplacé par ( - ), toujours sans espace, entre les mots.)

-e, e-: charge électrique dite élémentaire, électron u+/- quark up, positif / négatif
e-: charge électrique fractionnaire: 1/3, électrino d+/- quark down, positif/négatif
~+/-: charge électrique apparente ou excédentaire n+/- neutrino e+ positon (ou positron)
#+/-: charge électrique intrinsèque (paquet à 50% +/-) e+/- électrino : négatif (négatino) / positif (positino)
G+/-: bruno, notation de l'auteur pour la particule la "plus infime", en hommage à Giordano Bruno
eV: unité d'énergie = électronvolt, équivalent à 1,60219 x 10-19 joule (J)

 

Rappel fondamental : (En référence à la communication n°1, publiée en 1999)

Le paradigme électromagnétique est directement lié à celui de la gravitation ou agrégation électromagnétique comme conséquence des mouvements (translation et rotation) stochastiques de monades ou d'agrégats particulaires générant charges et polarités électriques

Cette agrégation électromagnétique découle:

- 1°_ de la charge électrique intrinsèque et composite de chacun des amas particulaires (ou amas de monades) sub-photoniques, sub-électroniques, sub-protoniques composants les atomes, éléments ou molécules.
La charge électrique intrinsèque
est proportionnelle à la quantité de matière/énergie des n monades constituant chacun des amas particulaires.

- 2°_ de la résultante agrégative macroscopique qui résulte du différentiel dynamique
et quantique des champs électromagnétiques émergeant des charges électriques en mouvement (yoctoscopique et macrospique) et en interaction.
Le différentiel dynamique est proportionnel à la masse des entités considérées et inversement proportionnel au carré de leur éloignement spatiotemporel.

Ainsi la résultante macroscopique
: [d² n ( e+ * e-) / (d t * d (r²)) ] est toujours agrégative.

Si vous souhaitez échanger des idées sur ces découvertes: cosmos.monade@free.fr

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Rédaction: 2002. Rééditions: 2003 / 2004 / 20014...

Compléments didactiques et épistémologiques utiles :
http://villemin.gerard.free.fr/ (nombres et formes - théories et usages)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Atome (les différentes modélisation de l'atome du 20 ème siècle)

http://culturesciencesphysique.ens-lyon.fr/Entree_par_theme/generalites/VLumiere/relat.html
(Gabrielle Bonnet: la relativité)
http://www.astro.ulg.ac.be/~Sal/photos/photos.htm (diaporama de photos par thème)
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